La recette est tirée d'un livre dont je ne me séparerai jamais : The art of simple food d'Alice Waters. Je sais. Elle n'est pas glamour, Alice. Elle a simplement révolutionné la restauration en Californie. C'est mon idole. Je vous souhaite de la découvrir en 2013. Ce velouté devrait vous convaincre d'aller à sa rencontre.
Ce qu'il vous faut
Huile d'olive
1 oignon, ou une échalote, en dés
1 carotte, pelée et coupée en gros morceaux
1 c. à thé de graines de coriandre, écrasées (j'espère ue vous avez un mortier)
1 c. à thé de graines de cumin, écrasées aussi
1 c. à thé de poudre de chili (ou de piment de Cayenne, ou de piment d'Espelette, ou de paprika, bon, vous avez saisi le principe.)
1/4 c. à thé de curcuma
1/4 c. à thé de piment de chili en flocons
Sel
Poivre fraîchement moulu (essentiel pour tirer profit des propriétés du curcuma)
6 brins de coriandre (ou plus, c'est selon)
1 gros chou-fleur, mis en bouquet (ça devrait donner 6 tasses à peu près. Mais on ne se casse surtout pas la tête si le chou-fleur donne 5 ou 7 tasses.)
5 à 6 tasses de bouillon de dinde maison (pour un velouté moins riche, utiliser 3 tasses de bouillon, 3 tasses d'eau)
Comment faire
Dans un grand chaudron à soupe, verser assez d'huile pour couvrir le fond. Combien? Je le sais pas. Suivez votre instinct!
Ajouter l'oignon, la carotte et les épices. Chauffer à feu doux pendant quelques minutes.
Ajouter les bouquets de chou-fleur. Poursuivre la cuisson pendant quelques minutes. Ajouter la coriandre fraîche et le bouillon.
Porter à ébullition. Mijoter jusqu'à ce que les légumes soient tendres.
Passer au robot mélangeur. Servir chaud.
On peut garnir avec du yogourt (0% Liberté ou Danone), de la coriandre ou de la menthe hachée (ou les deux, pourquoi toujours choisir?) sur laquelle vous aurez ajouté un splash de lime.
Bon mois de la soupe!
Cette fleur, moulue sur pierre par l'économusée Les moulins de l'Isle-aux-Coudres, fait des galettes divines. On peut en faire provision, à condition de la conserver au congélo. De cette manière, elle ne rancit pas.
J'ai visité cet économusée. Le chemin qui conduit aux moulins est bordé de cerisiers sauvages. Vous savez, les petites cerises qui vous font les dents rudes quand on les déguste. De quoi faire un clafoutis démentiel. Mais je m'égare.
Ces galettes font merveille au brunch de Noël. Essayez-les avec du saumon fumé Atkins. Un succès foudroyant.
Voici donc cette recette de galettes sarrasin qui sent bon ma Grand-mère et son énorme poêle à bois:
Galettes de sarrasin
o 1 tasse de farine de sarrasin
o ½ c. à thé de bicarbonate de soude
o ½ c. à thé de sel
o Environ 1 1/3 tasse d’eau, soit la quantité nécessaire pour obtenir la consistance d’une pâte à crêpe
4 galettes gourmandes
Mêlez ensemble la farine, le bicarbonate et le sel.
Incorporez environ ¾ tasse d’eau. Battez bien pour éviter les grumeaux.
Ajoutez le reste de l’eau.
La pâte peut reposer quelques heures. Si elle épaissit, ajoutez un peu d’eau.
Cuire dans une poêle en fonte très chaude.
Servez immédiatement avec du beurre, du sirop d’érable ou de la mélasse.
Ce feuilleté a coûté 21$ Ma fille m'en a fait la remarque. Je lui ai répondu que si nous étions allés tous les trois dans le resto de restauration rapide le plus populaire au monde, nous aurions certainement déboursé 30$! Morale de cette démonstration mathématique?
La qualité ne coûte pas si cher!
Bon dimanche pré-tempête!
Je sais, il est tôt pour parler du sirop d'érable. Mais que voulez-vous, les érables s'apprêtent à produire leur nectar. Je ne peux pas résister. J'ai envie d'en remettre sur la table, je vous assure, c'est inscrit dans mon code génétique.
J'ai choisi de dépoussiérer un classique. Je sais, je devrais plutôt dépoussiérer mes livres. Ce serait plus utile mais moins délicieux. C'est la relâche et on s'amuse.
J'ai donc repris une recette que j'ai faite en 2007. J'ai remplacé le sucre brun par du sirop d'érable. J'ai ajouté 3 c. à table de canneberges séchées, hachées. J'ai oublié l'eau. Et j'ai fait une découverte qui m'a troublée. En 2007, je faisais cuire mes biscuits à 325°F. En 2010, il faut que ce soit à 350°F. Est-ce mon four ? Est-ce moi ? Ou est-ce le sirop d'érable ? Je ne saurais dire. Mais une chose est certaine. J'ai fait cuire une partie de la recette à 325°F, l'autre à 350°F. Cette dernière est de loin la meilleure. Les biscuits sont plus croustillants, plus dorées, mieux réussis. Note à moi-même. Jamais de pilote automatique en cuisine.
Biscuits à la farine d'avoine, au sirop d'érable et aux perles rouges
3/4 tasse (110 g) farine tout-usage
1/2 c. à thé (c. à café) de bicarbonate de soude
1 tasse de flocons d'avoine (gruau)
1/2 c. à thé (c. à café) de sel
1/3 tasse de sucre vanillé
1/3 tasse (80 ml) de sirop d'érable
1/2 tasse (112 g) de beurre ramolli
1 gros oeuf
Préchauffer le four à 350°F (180°C).
Tapisser deux tôles à biscuits avec du papier sulfurisé. Réserver.
Dans un bol, mêler la farine, le bicarbonate de soude, les flocons d'avoine et le sel. Réserver.
Dans un grand bol, battre le beurre en crème avec les deux sucres. Ajouter l'oeuf. Battre jusqu'à ce que la consistance soit lisse.
Ajouter le mélange sec en deux ou trois fois. Ajouter les canneberges. Mêler bien après chaque addition.
Laisser tomber la valeur de 15 ml de pâte par biscuit sur la plaque. N'en mettez pas plus, les biscuits seraient trop gros et trop mous. Oubliez ce conseil si c'est votre but. Écraser légèrement avec les doigts légèrement mouillés.
Enfourner. Faire cuire pendant 10 à 12 minutes, soit jusqu'à ce que les biscuits soient dorés.
Conserver dans un pot hermétique, ou congeler.
Souhaitons que ces biscuits très canadiens attirent la neige. Pendant la relâche seulement. Après, ce n'est pas nécessaire. Vraiment pas.
© Tarzile.com, 2010
]]>1 Orgueil et Préjugés – Jane Austen
2 Le Seigneur des Anneaux – JRR Tolkien
3 Jane Eyre – Charlotte Bronte
4 Harry Potter series - JK Rowling
5 Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur - Harper Lee
6 The Bible
7 Les Hauts de Hurle-Vent - Emily Bronte
8 1984 - George Orwell
9 A la croisée des mondes - Philip Pullman
10 De grandes espérances - Charles Dickens
11 Les quatre filles du Docteur March - Louisa M Alcott
12 Tess d’Uberville - Thomas Hardy
13 Catch 22 - Joseph Heller
14 Oeuvres complètes – Shakespeare
15 Rebecca - Daphne Du Maurier
16 Bilbo le Hobbit - JRR Tolkien
17 Les Chemins de Feu – Sebastian Faulks
18 L’attrape-coeurs - JD Salinger
19 Le temps n’est rien - Audrey Niffenegger
20 Middlemarch – George Eliot
21 Autant en emporte le vent - Margaret Mitchell
22 Gatsby le Magnifique - F Scott Fitzgerald
23 La Maison d’Âpre-Vent – Charles Dickens
24 Guerre et Paix - Leon Tolstoï
25 Le Guide du voyageur galactique - Douglas Adams
27 Crime et Châtiment - Féodor Dostoïevski
28 Les raisins de la colère - John Steinbeck
29 Alice au Pays des merveilles - Lewis Carroll
30 Le vent dans les saules - Kenneth Grahame
31 Anna Karénine - Leon Tolstoï
32 David Copperfield - Charles Dickens
33 Les Chroniques de Narnia - CS Lewis
34 Emma – Jane Austen
35 Persuasion – Jane Austen
36 Le Lion, la Sorcière Blanche et l’Armoire Magique - CS Lewis
37 Les cerfs-volants de Kaboul - Khaled Hosseini
38 La Mandoline du capitaine Corelli - Louis De Bernieres
39 Geisha - Arthur Golden
40 Winnie l’ourson - AA Milne
41 La ferme des animaux - George Orwell
42 Da Vinci Code - Dan Brown
43 Cent ans de solitude - Gabriel Garcia Marquez
44 Une prière pour Owen - John Irving
45 La femme en blanc - Wilkie Collins
46 Anne… la maison aux pignons verts - LM Montgomery
47 Loin de la foule déchaînée - Thomas Hardy
48 La Servante écarlate - Margaret Atwood
49 Sa majesté des mouches - William Golding
50 Expiation – Ian McEwan
51 L’Histoire de Pi - Yann Martel
52 Le Cycle de Dune – Frank Herbert
53 Cold Comfort Farm - Stella Gibbons
54 Raison et Sentiments – Jane Austen
55 Un garçon fier de soi - Vikram Seth
56 L’ombre du vent - Carlos Ruiz Zafon
57 Un conte de deux villes - Charles Dickens
58 Le meilleur des mondes - Aldous Huxley
59 Le bizarre incident du chien pendant la nuit - Mark Haddon
60 L’amour aux temps du choléra - Gabriel Garcia Marquez
61 Des souris et des hommes - John Steinbeck
62 Lolita - Vladimir Nabokov
63 Le maître des illusions - Donna Tartt
64 La nostalgie de l’ange - Alice Sebold
65 Le Comte de Monte-Cristo - Alexandre Dumas
66 Sur la Route - Jack Kerouac
67 Jude l’Obscur - Thomas Hardy
68 Le journal de Bridget Jones - Helen Fielding
69 Les Enfants de minuit - Salman Rushdie
70 Moby Dick - Herman Melville
71 Oliver Twist - Charles Dickens
72 Dracula – Bram Stoker
73 Le Jardin secret - Frances Hodgson Burnett
74 Notes From A Small Island - Bill Bryson
75 Ulysse - James Joyce
76 L’Enfer – Dante
77 Hirondelles et Amazones - Arthur Ransome
78 Germinal – Emile Zola
79 La Foire aux Vanités- William Makepeace Thackeray
80 Possession – AS Byatt
81 Un chant de Noël - Charles Dickens
82 Cloud Atlas - David Mitchell
83 La couleur pourpre - Alice Walker
84 Les Vestiges du jour - Kazuo Ishiguro
85 Madame Bovary - Gustave Flaubert
86 L’Équilibre du monde - Rohinton Mistry
87 Le Petit Monde de Charlotte - EB White
88 Les cinq personnes que j’ai rencontrées là-haut - Mitch Albom
89 Les Aventures de Sherlock Holmes - Sir Arthur Conan Doyle
90 Le club des 5 - Enid Blyton
91 Au coeur des ténèbres - Joseph Conrad
92 Le Petit Prince - Antoine De Saint-Exupery
93 Le seigneur des guêpes - Iain Banks
94 Les Garennes de Watership Down - Richard Adams
95 La conjuration des imbéciles - John Kennedy Toole
96 A Town Like Alice - Nevil Shute
97 Les trois mousquetaires – Alexandre Dumas
98 Hamlet - William Shakespeare
99 Charlie et la chocolaterie - Roald Dahl
100 Les Misérables - Victor Hugo
Non, ce n'est pas une recette pour un début d'été. C'est une recette de fin d'automne. Mais il fait si froid et si sombre, faut s'ajuster.
J'avais une tonne d'asperges et vraiment, je n'allais pas faire une gaspacho avec. Pas avec ce froid.
Au final, je suis bien contente d'avoir ressorti cette recette du placard saisonnier où je l'avais remisée. Très réconfortant.
Faites comme moi.
Filet de porc sur un lit d'asperges et de champignons
45 ml (3 c. à soupe) de sauce tamari
30 ml (2 c. à soupe) d'huile de canola (colza)
30 ml (2 c. à soupe) de jus de limette (2 limettes, grosso modo)
30 ml (2 c. à soupe) de sirop d'érable (ou de miel)
1 gousse d'ail émincée
1 ml (1/4 c. à thé) de Sambal oelek
1 gros filet de porc d'environ 600 g ou 2 filets de 300 g chacun
Dans un sac de type Ziploc, verser tous les ingrédients de la marinade. Bien mélanger. Ajouter le porc. Bien enrober de marinade. Refermer le sac hermétiquement.
Laisser mariner au réfrigérateur au minimum 30 minutes. Vous pouvez aller jusqu'à 4 ou 5 heures facilement.
Pendant que le porc marine, vous préparerez les légumes
450 g (1 lb) d'asperges vertes, parées
225 g (8 oz) de champignons café ou de shiitake entiers, parés
225 g (8 oz) de pleurotes, parés, coupés en gros morceaux
4 gousses d'ail, entières
Assez d'huile d'olive pour enrober les légumes
Sel, poivre
Préchauffer le four à 200° C (400°F).
Sur une grande tôle tapissée de papier sulfurisé, déposer les asperges, les champignons et l'ail. Ne pas les empiler, ils bouillonneraient.
Bien enrober les légumes d'huile d'olive. Saler et poivrer.
Il est possible que vous ayiez besoin de plus d'une tôle.
Lorsque vous êtes prêt à passer à la cuisson, égoutter le porc.
Dans une grande poêle, saisir la viande à chaleur vive environ 4 à 5 minutes en la retournant pour la saisir sur toutes ses surfaces.
Déposer le porc sur les légumes.
Cuire à découvert 15 à 20 minutes ou jusqu'à ce que la température interne de la viande atteigne 63 à 65°C (145 à 150°F) sur un thermomètre à lecture rapide.
Une fois cuit, laisser reposer le porc à couvert sur une assiette chaude.
Servir sur du riz basmati.
]]>C'est la chef Anne Desjardins, du resto l'Eau à la bouche, qui m'a finalement convaincue. Dans un article paru dans le journal La Presse, elle suggère d'utiliser les fameux sacs pour que le volatile ne soit pas sec.
J'ai décidé de tester le sac aujourd'hui. J'achète deux gros morceaux de dinde afin de procéder à l'expérience.
J'ai suivi les instructions à la lettre.
Ouvrez le sac. Y déposer 15 ml de farine puis la dinde. Fermez le sac avec le petit fermoir. Pratiquez 6 incisions pour éviter que sac et volaille explosent dans le four. Déposez dans une lèche-frite.
Faites cuire à 350°F (180°C).
Pour une dinde de moins de 5 kg, la durée de cuisson devrait se situer entre 1h15 et 2h00. En fait, la chef soutient que le volatile est cuit lorsqu'un thermomètre à lecture instantanée inséré dans la chair (pas sur l'os, la lecture serait faussée) indique 180°F.
Chez moi, j'avais environ 2kg de viande. La cuisson a duré 1h30.
Le résultat? La dinde, qui n'est pas une Butterball, est juteuse alors que je n'ai ajouté aucun liquide.
Je dois des excuses à ma Belle-mère.
© Tarzile.com, 2005
]]>J'avais pris soin de demander des conseils à des connaisseurs que je remercie du fond du coeur.
Le samedi matin, après un petit-déjeuner au restaurant Cochon Dingue de Sillery (rue Maguire, réservations en ligne possibles) avec notre chère famille de Québec, nous nous sommes précipités vers l'île d'Orléans.
J'avais pris soin de glisser une glacière dans l'auto, en me disant qu'il y avait bien un dépanneur qui vendrait de la glace à quelque part.
Le temps était splendide. Pas trop de monde sur la route. Presque pas de travaux routiers. Le paradis, c'est la Ville de Québec.
Notre première halte : l'Espace Félix-Leclerc puisque Camille, archiviste d'un été à la maison Félix-Leclerc de Vaudreuil, voulait visiter cet endroit dont elle a entendu parler tant et tant. Elle nous a raconté des parcelles de vie de Félix, je sais, ma Puce est devenue adulte et moi, je n'ai rien vu! J'avais en tête le Tour de l'île, chanson-culte de Félix, interprétée avec toute la délicatesse du monde par le groupe Karkwa.
Comme nous voulions un repas vin et fromages, il nous fallait du pain. Première halte : La boulange. Puisque notre petit-déjeuner était loin, on en a profité pour manger des pizzas à croûte fine. Il y avait des canelés... Pour dire... Nous nous sommes installés dans la salle à manger ancestrale, une brise faisait danser les rideaux. Le bonheur, c'est un panneau de rideau qui flotte au vent pendant que la porte moustiquaire claque...
Puis, les fromages. La fromagerie de l'île, avec sa faisselle et ses fromages du Québec. On a fait le plein, là. Et rencontré un homme qui venait de la Caroline du Nord pour assister au spectacle du Cirque du Soleil. Une habitude. Il vient voir tous les spectacle du Cirque au Québec. Une belle rencontre! Le bonheur, c'est de partager ses coups de coeur avec un étranger croisé dans une fromagerie.
Troisième escale, la ferme d'Oc. Là, le miracle s'est produit. Nous sommes entrés dans le minuscule atelier. Une gentille dame nous a fait goûter la rillette d'oie et j'ai presque eu les larmes aux yeux tant c'était bon. Je suis sortie. Des vêtements séchaient sur la corde à linge. On voyait le fleuve et les montagnes en arrière-plan. Des oies se dandinaient dehors. À ce moment précis, je me suis dit que je pourrais vivre sur cette île. Même s'il n'y a pas de Loblaw. Peut-être parce qu'il n'y a pas de Loblaw, mais des champs fertiles et cajolés par des artisans fiers. Je suis tombée en vacances à ce moment-là. À la ferme d'Oc. Le pire, c'est que je n'avais même pas faim pour goûter une pomme de terre frite dans la graisse d'oie. Le bonheur, c'est une corde à linge qui s'étire au-dessus du plus beau fleuve au monde.
Nous avons choisi d'acheter de la bière, Camille n'aimant pas le vin. Au dépanneur en face de la microbrasserie de l'île d'Orléans, on a acheté la bière Françoise Bourgeois (orge), Abel Turcault (scotch), Anne Baillargeon (blonde) et une Marie Barbier (blanche).
Il fallait des fruits frais et on en a trouvé au kiosque voisin. Les meilleures fraises de la saison, on les a mangées sur l'île. Le bonheur, ce sont des fermiers fiers du fruit de leur travail.
Nous sommes revenus sur le continent. Avons fait une courte sieste puis, nous avons dégusté. Après? Nous sommes allés voir Amaluna, du Cirque du Soleil.
Nous avons passé deux belles journées. Je vous en souhaite tout autant!
]]>Pour 3-4 personnes
Mon amie Christiane a vécu un an au Maroc, dans une famille marocaine. La dame de la maison préparait cette soupe et a gentiment accepté de lui livrer son secret. Lorsque Christiane nous a servi cette soupe un soir d’été, j’ai passé outre à mes bonnes manières et je lui ai demandé un second service. Puis, je l’ai suppliée de me confier son secret. Cette soupe est parfaite pour les soirs où aucune sorte de viande ne me sourit. C’est comme pour les chips, difficile de s’arrêter avant d’avoir vu le fond du chaudron.
PRÉPARATION 15 MINUTES / CUISSON 60 MINUTES
INGRÉDIENTS
Huile de canola
La moitié d’un oignon rouge, haché
2 gousses d’ail, écrasées
250 ml (1 tasse) de lentilles brunes
3 grosses tomates en morceaux ou une boîte de 398 ml (14 on) de tomates en dés
750 ml (3 tasses) de bouillon de poulet
125 ml (1/2 tasse) de jus de tomates ou de coulis de tomates maison
1 bouquet de coriandre
Persil italien, la moitié de la quantité de la coriandre
Sel, au goût
PRÉPARATION
Chauffer de l’huile de canola dans une casserole. Faire tomber l’oignon. Ajouter l’ail. Cuire pendant quelques minutes à feu doux. Ajouter les lentilles. Brasser pour les enrober d’huile. Cuire pendant 5 minutes à feu doux. Ajouter les tomates, le bouillon de poulet et le jus de tomates. Porter à ébullition lentement et faire cuire, à couvert. Pendant que la soupe mijote, hacher le persil et la coriandre.
Lorsque la soupe a mijoté pendant 30 minutes, ajouter les 3/4 de la coriandre et le persil. Saler. Poursuivre la cuisson pendant 30 minutes, à découvert.
Au service, garnir avec le reste de la coriandre. Servir avec du pain frais et une salade verte.
TRUC. Un splash de lime ensoleillera davantage cette soupe.
On avait déclaré qu'il y avait effectivement quelques fadas (traduction pour ceux qui n'ont pas écouté Jean de Florette : timbrés ou carrément épais) qui s'y adonnaient.
Quelques années plus tard, il faut constater que ces tomates atypiques prennent de plus en plus d'espace dans les médias et, croisons-nous les doigts, sur les étals des marchés.
Dans mon potager, il n'y a que des tomates du patrimoine. Pourquoi cultiver des tomates plus traditionnelles ? Savoura le fait beaucoup mieux que moi.
Comme la saison tire à sa fin, j'ai fait le tour de mes petits plants pour recueillir les dernières tomates circa 2008. Je regardais le fond de mon panier en me demandant bien ce que j'allais en tirer.
J'ai pensé à un taboulé. Multicolore ? Multicolore !
La recette est par là-bas, et la photo, juste ici.
du magazine Saveurs que je découvre après toute la blogosphère. Très branchée, la fille. Ce fut un coup de foudre. Une découverte. J'ai lu cet opus dans mon lit.
Il y a tant de recettes que je veux découvrir. Je ne sais par où commencer. La température étouffante a choisi pour l'indécise que je suis trop souvent : gaspacho concombres et menthe. Pourquoi ?
Parce que mon Chéri est passé hier devant la ferme de Réjean Pilon, à Saint-Clet. Il m'a ramené des concombres libanais exceptionnels. Si j'étais anglophone, je dirais qu'ils sont out of this world.
Alors, je n'ai pas le choix. Monsieur Réjean, je cuisine vos concombres.
Gaspacho concombres et menthe
CE QU'IL VOUS FAUT
3 concombres libanais de Monsieur Réjean
6 feuilles de menthe de mon potager
Le jus d'un citron
1 c. à soupe d'huile d'olive Pandora
Sel et poivre, au goût
COMMENT FAIRE
Peler les concombres. Comme ce sont des concombres libanais, je ne me donne pas la peine d'enlever les graines parce qu'il n'y en a pas. C'est une caractéristique de l'espèce.
Les détailler en cubes si, comme moi, vous avez un mélangeur capricieux.
Les déposer dans le bac du mélangeur capricieux. Ajouter le jus du citron, quatre feuilles de menthe, le jus du citron, l'huile d'olive, du sel et du poivre.
Mixer jusqu'à consistance homogène. Goûter. Pas assez salé ? Besoin d'un peu plus de poivre ? Faites-vous plaisir, rajoutez-en !
Réfrigérer.
Au moment du service, garnir avec de la menthe et un filet d'huile d'olive pour faire chic. Mais oui, même un mercredi soir, on peut faire chic.
Déguster à l'extérieur, en vous félicitant d'être aussi futée.
EST-CE QUE C'EST BON ?
Plus que bon. Et simplissime, en plus.
© Tarzile.com, 2010
]]>Nous serons sur la scène jeunesse La Survivance. Nous avons hâte de vous voir!
]]>Vous nous avez confié des trucs. Vous nous avez questionnées. Nous avons échangé. Et nous avons ri.
Nous souhaitons que Léa vous attendrisse. Que Lily vous amuse. Et que PVP... Que PVP reste comme il est.
Vous connaissez notre adresse : lea.sec2@gmail.com
Un merci particulier à Tyler et à sa mère. Bisous, les filles!
Merci à nos collègues auteurs pour leur accueil. On a déjà hâte à Québec.
Ce fut un beau salon.
]]>Nous vous rappelons que nous serons au Salon du livre de l'Outaouais ce week-end. Vendredi, samedi et dimanche. Notre horaire est sur le site du SLO. Jetez-y un oeil.
Nous avons hâte de vous voir. De vous rencontrer. De vous écouter. À bientôt.
Camille et Sylviane
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